Mardi, 24 mai, 2022
Mai est le Mois de sensibilisation au cancer de la vessie.
Le cancer de la vessie est souvent considéré comme le cancer « oublié », même s’il touche des centaines de milliers de personnes dans le monde. On estime qu’environ 12 500 Canadiens reçoivent un diagnostic de cancer de la vessie chaque année. Ce cancer occupe le cinquième rang des cancers les plus fréquents au Canada; il se situe au quatrième rang des cancers les plus courants chez l’homme et au huitième rang chez les femmes.
En avril dernier, l’équipe de Pfizer Oncologie s’est réunie pendant une journée entière pour tâcher de mieux comprendre le point de vue des patients, notamment à l’aide d’une présentation de Michelle Colero, directrice générale de Cancer de la vessie Canada, et d’un groupe de discussion auquel participaient trois Canadiens atteints de cancer de la vessie.
Angela a reçu un diagnostic de cancer de la vessie à la fin de la trentaine, après une période de ce que les cliniciens avaient cru être des infections urinaires à répétition. Elle a finalement dû quitter son travail et subir une ablation de la vessie parce qu’elle ne répondait pas au traitement. Elle a parlé de son parcours et de ses efforts quotidiens pour tâcher de profiter de la vie tout en acceptant sa nouvelle normalité.
Rob, qui menait une carrière militaire, dit souvent à la blague qu’à la suite de son diagnostic, il a dû prendre une « retraite induite par un traitement médical ». Il n’a jamais voulu que son cancer de la vessie soit gardé comme un sombre secret que ses amis et parents devaient éviter d’aborder. Il partage ouvertement son histoire avec son entourage de même que dans des événements publics afin de mieux faire connaître le cancer de la vessie.
Tony avait des problèmes à uriner et des maux de dos, jusqu’à ce que ses médecins découvrent que la cause de ses symptômes était un cancer de la vessie. Malgré les bons soins médicaux reçus, son cancer a progressé jusqu’au stade métastatique. Une partie de son message concernait l’importance de l’éducation des cliniciens et des patients et de la participation active du patient à ses soins. Tony a finalement décidé de s’inscrire à un essai clinique, ce qui lui a permis de tenir son cancer à distance depuis plus de quatre ans.
Après avoir appris des expériences personnelles d’Angela, de Rob et de Tony, l’équipe a terminé cette journée par un atelier explorant les façons de soutenir une personne qui a reçu un diagnostic de cancer de la vessie et de s’engager de manière concrète auprès d’elle. La séance était dirigée par Tawny Barratt, survivante du cancer, également soignante et responsable des communications de Cancer de la vessie Canada.
Pour améliorer la qualité de l’expérience des patients atteints de cancer, il est essentiel de se mettre à leur écoute et de réfléchir à la façon de les soutenir. L’équipe de Pfizer est reconnaissante envers Angela, Rob, Tony et l’équipe de Cancer de la vessie Canada pour le temps qu’ils ont pris à communiquer leurs réflexions avec elle et à l’aider à mieux comprendre différents points de vue de patients.
Pour en savoir plus à propos de Cancer de la vessie Canada, visitez le www.bladdercancerCanada.org/fr/.